Aidhom recrute !

Nous sommes à la recherche de personnes sur l’ensemble de nos zones d’interventions.
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Ouverture d’une nouvelle agence à Sarrebourg

La permanence de Sarrebourg laisse place à une nouvelle agence où nous aurons le plaisir de vous accueillir.

A partir du 1er juillet 2019 nos locaux seront donc situés à l’adresse suivante :

12 rue de la gare

57400 SARREBOURG

 

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Moselle

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Moselle 48.737000, 7.052780 Agence de SarrebourgTél: 03 90 40 28 00

Mise en place de permanences

Pour plus de proximité avec nos usagers et intervenants nous avons mis en place deux permanences

Une à Sarrebourg depuis juillet 2018 (Jours et horaires nous consulter)

Pépinières d’entreprise 4 terrasse de Bretagne 57400 SARREBOURG

Une à Behren les Forbach depuis janvier 2019 (Jours et horaires nous consulter)

Au pôle formation Rue Robert Schuman
57460 BEHREN LES FORBACH

 

L’adresse de la permanence de Meurthe et Moselle a changée (le lieu est inchangé seule la rue a été rebaptisée)
Suite au changement de dénomination de la Place Thiers, sur décision de la Mairie de Nancy, ci dessous la nouvelle adresse postale :

3 Place Simone Veil
CS 20739
54064 Nancy Cedex

Changement d’adresse pour l’agence de Colmar

Nous avons le plaisir de vous annoncer que nous avons trouvés de nouveaux locaux pour notre agence de Colmar.

Notre nouvelle adresse depuis le 11 janvier 2019 :

39 rue de la 1ére armée française

68000 COLMAR

 

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Haut-Rhin

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Haut-Rhin 48.071532, 7.366428 Agence du Haut-Rhin / Colmar Tél : 03 90 40 28 00

Nouvelle adresse pour l’agence de Vitry Le Francois

Nous avons le plaisir de vous annoncer que nous avons trouvés de nouveaux locaux pour notre agence de Vitry Le Francois.

A partir du 1er décembre 2018 nous serons donc situés à l’adresse suivante :

12 rue du pont

51300 VITRY le FRANCOIS

 

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Marne

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Marne 48.726600, 4.583300 Agence de la Marne / Vitry-le-FrançoisTél : 03 90 40 28 00

Service de téléassistance

 

AIDHOM ET PRESENCE VERTE notre nouveau partenaire.

Afin de renforcer la qualité de son service de maintien à domicile, Aidhom s’est entouré d’un pionner de la téléassistance, professionnel dans le domaine depuis 2007 : Présence verte

Notre objectif commun étant d’apporter une amélioration des conditions de vie et de favoriser le maintien à domicile de toute personne isolée ou en perte d’autonomie, il était tout naturel pour nous d’avancer ensemble.

Nous avons concrétisé notre partenariat le 18 Décembre 2017 avec la signature d’une convention de partenariat.

Notre collaboration vous permettra de bénéficier du savoir faire de chacun, expert dans son domaine d’activité respective.

Grâce à notre partenariat, faites des économies  obtenez l’installation gratuite !

Présence Verte vous propose différents système de téléassistance :

Activ’zen : téléassistance Domiciliaire

Activ’Dialog : téléassistance connecté

Pour en savoir plus : https://www.presenceverte.fr

N’hésitez pas, consultez un référent Aidhom ! Nous vous guiderons pour la constitution de votre demande et la transmettre à l’agence présence verte de votre région afin que vous puissiez bénéficiez de votre avantage : L’installation gratuite.

Prévention contre les risques de chutes à domicile

Chute de la personne âgée : Détection, conseils et prévention

 

Première cause de décès accidentel chez les plus de 65 ans, la chute impacte souvent la condition physique mais également la condition psychologique.
Perte de confiance, peur de tomber à nouveau, repli sur soi, les conséquences d’une chute sont multiples, souvent graves et liées à l’importance de la blessure et à l’état de santé de la personne.
Dans quelles circonstances interviennent généralement les chutes ?
Quels sont les moyens de détection et de prévention des chutes, comment se relever et que faire pour éviter une autre chute ?
Toutes les réponses dans ce dossier.

Détecter les chutes

Chaque année, plus de 2 millions de personnes âgées de plus de 65 ans chutent, et une personne sur 2 âgée de plus de 80 ans en est victime.

Si les risques de rechuter sont multipliés par 20 après la première chute, il faut d’abord savoir l’identifier avant de pouvoir la détecter.
Il existe plusieurs types de chutes :

  • la chute dite lourde: perte de verticalité rapide associée à un choc
  • la chute molle: lorsque la personne se retient (à un meuble, par exemple)
  • la chute syncopale: lors du perte de connaissance

Cependant, difficile de définir avec précision toutes les chutes, d’autant qu’il convient d’identifier également les fausses alertes.

Plus le temps passé au sol est long, plus les conséquences de la chute seront graves. Il est donc primordial de pouvoir détecter une chute pour le maintien de l’autonomie des personnes âgées.

S’il reste complexe à estimer précisément, le coût économique global lié à la chute des personnes âgées est très important, du fait des frais divers de santé dont l’hospitalisation, du suivi physique et psychologique, l’accélération de la dépendance… L’intérêt de travailler sur la détection des chutes (sans oublier la prévention) des personnes âgées est donc majeur.

En ce sens, plusieurs solutions pour l’autonomie ont été développées et des systèmes ont été conçus afin de détecter les chutes et alerter rapidement en cas de problème.

De nombreuses recherches sont en cours pour développer des appareils ne nécessitant pas une alerte active de la part de la victime d’une chute (c’est-à-dire capables d’alerter même si la personne est inconsciente). Ces appareils destinés à détecter une chute chez une personne âgée sont de divers types :

  • ceux qui détectent la chute elle-même (un mouvement rapide et soudain, ou bien l’onde de choc au sol) ;
  • ceux qui repèrent la position horizontale prolongée du corps après la chute ;
  • ceux qui repèrent les arrêts soudains et prolongés des activités quotidiennes ou des mouvements ;
  • ceux qui suivent les données biologiques de la personne (rythme cardiaque et pression artérielle) ;
  • ceux qui combinent ces différentes techniques.

Les principales causes des chutes…

Les circonstances des chutes sont diverses : certaines sont dues à l’environnement et d’autres à l’état de santé de la personne elle-même.

Le plus souvent, ces chutes surviennent lors de la marche, d’activités ménagères, de jardinage ou tout simplement en se levant d’une chaise. La perte des réflexes, de la puissance musculaire, de la vue et parfois de l’équilibre peuvent favoriser ces accidents.

Les chutes surviennent habituellement lors des activités quotidiennes, que ce soit à domicile ou à l’extérieur. Si une chute sur deux se produit à domicile,  le lieu le plus propice reste la salle de bain avec en particulier la douche ou la baignoire.
Toujours dans la maison, de nombreux obstacles peuvent être à l’origine de chutes comme les escaliers, les tapis, les fils jonchés au sol, ou bien encore un mauvais éclairage.

Les chutes peuvent également survenir chez une personne souffrant de troubles de la vigilance à la suite d’une consommation d’alcool excessive ou de la prise de médicaments. Aussi, les patients atteints de démence chutent plus que celles qui en sont indemnes.
Bien sûr des troubles de la marche ou de l’équilibre, un chaussage mal adapté et des troubles de la vue sont également à l’origine de chutes chez les seniors.

Les facteurs de risque de chutes à domicile reconnus comme les plus significatifs sont :

  • trois chutes ou plus l’année précédente
  • une chute avec une blessure l’année précédente
  • une difficulté à se lever seul d’une chaise
  • troubles de l’équilibre, troubles de la marche : arthrose, antécédent d’accident vasculaire cérébral avec séquelles, maladie de Parkinson
  • une hypotension orthostatique avec sensation de vertiges lors du changement de position
  • une faiblesse musculaire
  • des problèmes au niveau des pieds avec, par exemple, une difficulté pour se chausser
  • des troubles cognitifs comme dans le cas d’une démence
  • la prise de médicaments psychotropes.

En novembre 2001, une autre cause est avancée par une étude anglaise. Les chercheurs estiment que les seniors victimes de chutes récurrentes et inexpliquées pourraient en fait être victimes d’un problème cardiaque non diagnostiqué.
Cette condition appelée « syndrome du sinus carotidien » (CSS) entraîne des rythmes cardiaques et une pression artérielle très faibles. Si une pression est appliquée au niveau de l’artère carotidienne, le cœur peut momentanément s’arrêter et entraîner une syncope. Ainsi, les malades sont plus susceptibles d’évanouissement et de chutes. Puisque le CSS entraîne également des pertes de mémoire, la victime ne se rappellera pas la perte de connaissance avant la chute. Pour ces personnes, la pose d’un pacemaker permettrait de réduire ce type d’arythmies cardiaques.

… et leurs conséquences

Selon la fragilité de la personne âgée et la circonstance de la chute, les conséquences peuvent être légères ou sévères avec hospitalisation et risque de complications liées à l’immobilisation forcée.

Parmi les conséquences immédiates, il faut craindre fractures et hématomes. Selon l’Inserm, plus de 50 000 chutes causent une fracture du col de fémur en France entraînant souvent de lourdes conséquences et la perte d’autonomie.

Il faut aussi appréhender les conséquences d’un séjour à terre prolongé chez une personne qui aurait chuté et se retrouverait dans l’incapacité de se relever. Un séjour prolongé à terre peut très rapidement être à l’origine de déshydratation, d’hypothermie, de  troubles circulatoires, d’escarres, etc.

Les complications post-opératoires d’une fracture peuvent aussi être lourdes chez une personne âgée et fragilisée avec des risques d’infections.
D’autres conséquences sont également à envisager comme la survenue de troubles du comportement ou encore des manifestations cliniques liées à l’arrêt brutal de médicaments (notamment ceux pris pour le sommeil).
A distance de la chute, le sujet âgé peut devenir peureux, perdre de son autonomie par crainte d’une rechute et avoir besoin d’une aide à domicile, voire partir pour une institution. Les suites d’une chutes sont effectivement à l’origine d’une impossibilité de rester à domicile et d’une rupture des liens sociaux.

Comment prévenir les chutes

40% des personnes hospitalisées après une chute ne peuvent plus retourner vivre chez elles. Mais la chute n’est pas une fatalité. Elle peut être anticipée grâce à des règles de vie et de vigilance pour limiter les risques.

Adopter une alimentation saine et équilibrée : afin d’empêcher une dénutrition et une fonte musculaire. Les repas doivent être riches en calcium, en protéines, en glucides, en vitamines sans oublier de boire suffisamment.

Maintenir une activité physique : Faire de l’exercice physique permet de prévenir les conséquences des chutes et de prévenir l’ostéoporose, les maladies du système cardiovasculaire, l’obésité, le diabète, le cancer du côlon et la mortalité. La moindre activité compte et l’on peut commencer à tout âge. Il est recommandé de faire au moins 30 minutes d’exercices d’intensité moyenne par jour (marche, natation, randonnée, vélo, étirements, monter l’escalier…).

Source : Silver eco.fr

Généralisation du crédit d’impôts dès le 01/01/2017

Depuis le 1er janvier 2017, l’article 82 de la loi de finances 2017 consacre l’ouverture du crédit d’impôt aux non actifs non imposables.

Dorénavant, les retraités, y compris ceux qui ne sont pas imposables, peuvent bénéficier eux aussi d’un avantage fiscal, en cas de recours aux services à la personne à domicile.
Ce crédit d’impôt est égal à 50 % des dépenses retenues ( dans la limite de 12 000 €).
Les dépenses sont retenues dans la limite de 20 000 €, par exemple lorsque l’un des membres du foyer fiscal est titulaire d’une carte d’invalidité d’au moins 80 % ou d’une pension d’invalidité de 3eme catégorie ou du complément d’allocation d’éducation spéciale.

Pour en savoir plus :

 

 

Projet de loi d’adaptation de la société au vieillissement

 

Voici les grandes lignes des principaux amendements proposés par les fédérations nationales de l’aide, de l’accompagnement des soins et des services à domicile :

  • Augmenter progressivement la part de l’État dans le financement de l’APA :
    Le financement de l’Allocation personnalisée d’autonomie (APA) repose majoritairement, et de plus en plus, sur les départements (à 68,1%). L’amendement à l’article 38 vise à inverser cette tendance en augmentant annuellement, par le moyen de la Loi de financement de la sécurité sociale (LFSS), la fraction du produit des contributions sociales affectées à la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA).
    Ceci, afin que la CNSA (donc l’État) participe davantage à la couverture des dépenses d’APA engagées par les départements. Cette disposition devrait également permettre, en renforçant les moyens des départements pour financer l’APA, d’améliorer l’équité sur les territoires, dont l’État doit être le garant comme le rappelle une proposition d’amendement portant sur l’article 1.

  • Permettre aux Saad d’adapter leurs réponses aux besoins évolutifs des personnes
    Malgré des dérogations, le respect de la condition d’activité exclusive constitue toujours un frein pour les Saad au développement de leurs activités, à la mutualisation des aides et à la diversification des réponses.
    L’assouplissement de cette condition consiste, d’une part, à adopter une définition plus large du domicile afin de s’adapter à la diversité des modes d’habitation et, d’autre part, à permettre aux Saad de proposer des actions innovantes auprès des proches aidants et des actions collectives de prévention.

  • Vers un régime unique d’autorisation
    Les quatre fédérations se félicitent de l’introduction par la commission des affaires sociales du Sénat de l’article 32 bis nouveau instaurant un régime unique d’autorisation, d’ici à cinq ans.
    Cet amendement permettrait de :

    • sécuriser l’accompagnement des publics fragiles et consacrer l’activité des Saad auprès de ces publics comme une mission d’intérêt général, au-delà des contraintes du marché,
    • apporter une meilleure réponse aux besoins pour tous sur tout le territoire, en garantissant aux publics fragiles une égalité de traitement au niveau financier et une continuité de service tant sur le plan géographique qu’au niveau de la prise en charge,
    • mettre en valeur les nouvelles missions de prévention que la loi donne aux Saad,
    • simplifier la réglementation et la rendre plus lisible pour les personnes aidées et les services,
    • réduire le reste à charge des personnes en perte d’autonomie et limiter, ainsi, les conséquences matérielles de ce qui constitue un risque et non une fatalité.

Pour en savoir plus sur le loi d’adaptation de la société au vieillissement : DOSSIER DE PRESSE ( LOI ASV )

 

 

(Source : Silvereco)